TEXTILE KUBA N3 - CONGO
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La tradition textile du Congo est ancrée dans les cultures exceptionnelles de deux puissants États qui, malgré leurs différences chronologiques et l’éloignement géographique se ressemblaient par l’importance qu’ils accordaient aux tissus cérémoniels en raphia, et par la complexité des styles qu’ils ont crées. Il s’agit respectivement des royaumes affiliés aux Kongo - Royaume qui s’est développé entre le XIV et le XIXe siècle sur le cours inférieur du fleuve Congo et le long de la côte historique de Loango (qui s’étend jusqu’au nord de l’Angola) et de la confédération royal des Kuba, née au XVIIe siècle, composée d’environ dix-huit chefferies régionales qui reconnaissent un souverain commun, le nyim, située au coeur même de l’actuelle République démocratique du Congo, près du confluent entre le Sankuru et le Kasaï.
Les textiles Kongo et Kuba ont été façonnés grâce à des conditions culturelles comparables : cour hiérarchisée, centrée autour d’un monarque et d’une noblesse dont les opulentes parures soulignaient l’autorité, le statut social et la richesse. Source Textiles Africains
Chez les Kuba, les hommes sont responsables de la culture du raphia ainsi que du tissage, les femmes, sont responsables de la broderie. Ils tissent du raphia sur des grandes longueurs (2 à 4 mètres) qui seront entourées autour de la taille et constitueront un pagne - Mapel, pagnes masculins et Ntshak pagnes féminins.
Les motifs improvisés sont réalisés à l’aide de trois méthodes :
Velours coupé : Après avoir ancré une petite fibre au tissu de base, le raphia est coupé. La texture des points de velours coupés ressemble à du velours et est dense et moelleuse. Dans cette technique de broderie, de courts brins de raphia sont insérés individuellement avec une aiguille sous une ou plusieurs chaînes ou trames d'un panneau de raphia tissé uni, puis coupés près de la surface à chaque extrémité pour produire le « velours » en relief.
Points : Un long fil de fibre est utilisé pour piquer des lignes épaisses et délimiter des zones remplies de broderies à poils coupés. Le point de tige, avec son effet de spirale bouclée, est le plus courant de ces points.
Appliqué : les motifs sont créés en cousant une couleur différente de tissu raphia sur le tissu de base.
DIMENSIONS
LONGUEUR 4,20 M
LARGEUR 78 CM
Les textiles Kongo et Kuba ont été façonnés grâce à des conditions culturelles comparables : cour hiérarchisée, centrée autour d’un monarque et d’une noblesse dont les opulentes parures soulignaient l’autorité, le statut social et la richesse. Source Textiles Africains
Chez les Kuba, les hommes sont responsables de la culture du raphia ainsi que du tissage, les femmes, sont responsables de la broderie. Ils tissent du raphia sur des grandes longueurs (2 à 4 mètres) qui seront entourées autour de la taille et constitueront un pagne - Mapel, pagnes masculins et Ntshak pagnes féminins.
Les motifs improvisés sont réalisés à l’aide de trois méthodes :
Velours coupé : Après avoir ancré une petite fibre au tissu de base, le raphia est coupé. La texture des points de velours coupés ressemble à du velours et est dense et moelleuse. Dans cette technique de broderie, de courts brins de raphia sont insérés individuellement avec une aiguille sous une ou plusieurs chaînes ou trames d'un panneau de raphia tissé uni, puis coupés près de la surface à chaque extrémité pour produire le « velours » en relief.
Points : Un long fil de fibre est utilisé pour piquer des lignes épaisses et délimiter des zones remplies de broderies à poils coupés. Le point de tige, avec son effet de spirale bouclée, est le plus courant de ces points.
Appliqué : les motifs sont créés en cousant une couleur différente de tissu raphia sur le tissu de base.
DIMENSIONS
LONGUEUR 4,20 M
LARGEUR 78 CM